mercredi 19 décembre 2012

L'Église des Philippines se bat contre la contraception

L'Église des Philippines se bat contre la contraception

2 commentaires:

Josick a dit…

J'ai mis un commentaire qui risque d'être censuré, le voici donc :
"Que l'Eglise des Philippines se bat bec et ongles... Je ne vois pas en quoi cela va changer quelque chose au problème (de la pauvreté et de la surpopulation).
Ben, il y en a des conneries de dites dans ce post. Je ne vais relever que celle-ci : "l’Église contribue à enfermer les pauvres dans le cycle de la surnatalité."
Ce sont les pauvres eux-même qui s'y enferment car ils sont de nature incestueuses, sens primaire du terme.
Je parlerais bien plus, mais je ne crois pas que cela intéresse.
Pour mon expérience de vie, je suis né à 20 km de Rennes dans une ferme sans eau courante ni électricité du réseau. J'ai donc vécu tout le développement qu'on a alors pu connaitre.
Depuis plus d'un an et demi, je vis dans une famille très pauvre des Philippines (six enfants). C'est un puits sans fond, investissement à fond perdu.
Ils disent n'avoir aucune éducation mais refusent toute éducation.
Seul les intéresse de cueillir le fruit de l'arbre, l'argent étant considéré tel, comme un fruit que l'on cueille et qui donc tombe du ciel. Ils sont viscéralement ennemis de toute mentalité productive. Leurs cerveaux ne sont pas crantés et refusent d'intérioriser toutes règles. Alors la contraception, pensez bien qu'ils s'en foutent comme de l'an quarante. La seule acceptée est que le bonhomme ne s'abandonne pas en elle. Je suis bien placé pour le savoir, cela fait neuf mois (depuis la naissance d'un premier bébé) que je suis soumis à un tel régime ce qui a certainement contribué à l'hospitalisation que je viens d'avoir (j'étais si mal que j'ai donné les consignes... mais j'ai survécu et suis là maintenant pour dire ce que l'on ne veut pas entendre).
On est là face à la persistance d'une bulle incestueuse. Point.
Je suis près à développer mais pas du tout près à discutailler.
Régis Paul Hutin Desgrés me connais et a fait veiller à ce que surtout pas je ne travaille pour Ouest-France (un temps, j'ai le matin distribué les journaux, faisait des dépannages à la volée). La critique, il n'aime pas trop."

Dominique Lemay a dit…

je suis pour la liberté d'expression.